La SUBL répond à une pratique mais n’a pas de définition légale. Il s’agit de la surface horizontale située à l’intérieur des locaux et dégagée de toute emprise.
Plus précisément, la SUBL s’obtient en déduisant de la surface de plancher : les éléments structuraux (murs extérieurs, murs de refend, poteaux supérieurs à 1 m2) ; les circulations verticales : escaliers, ascenseurs, monte-charge, escalators) ; les gaines techniques.
En architecture, la notion de surface utile d’un bâtiment fait référence à la surface intérieure nécessaire au fonctionnement d’une activité donnée.
Elle peut se décomposer en trois éléments : les circulations horizontales ; les locaux à caractère social et sanitaire ; les surfaces effectivement réservées aux postes de travail (bureaux, ateliers, laboratoires…).
Elle se différencie de la surface habitable en ce qu’aucune déduction n’est en principe opérée au titre de la surface occupée par les cloisons.
En matière d’expertise, elle constitue le ratio référentiel de mesure des études de marché en valeur vénale notamment dans le domaine des locaux de bureaux et d’activités (locaux artisanaux, entrepôts…).